"Le monde est un livre et ceux qui ne voyagent pas n'en lisent qu'une page." (Saint Augustin)

jeudi 5 août 2010

Oslo, capitale Norvégienne, en passant par Drobac

______________Une halte pour la journée et la nuit à Drobac.




Très joli village avec des excursions possibles, en bateau sur les îles voisines. Certains se baignent....pas nous !




Un des élus nous raconte l'histoire de cette ville et l'héroïsme des militaires qui, pris par surprise, ont mitraillé les navires allemands envoyés par Hitler, depuis l'île au milieu du fjord.
Dans la brume de l'hiver et la nuit, les conditions étaient très mauvaises, ils étaient peu nombreux pour actionner des canons très lourds, ils courraient de l'un à l'autre pour faire croire qu'ils étaient nombreux, les télécommunications de l'époque ne leur ont pas permis d'avoir du renfort, mais ils ont coulé les navires !


_______________ Oslo

Oslo est une ville difficile à visiter. Le quartier historique est très petit, les musées sont situés à l'extérieur, dans des quartiers résidentiels. Nous n'avons pas ressenti d'âme particulière dans cette ville, dont le bord de mer est occupé par une route, type autoroute... donc pas de "promenade des anglais", pas de terrasse...mais des passerelles pour traverser !

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On a adoré se promener sur les toits de l'opéra... un iceberg duquel on voit la ville ! jolies lumières, matières et géométries !



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La vieille ville, côté boutiques, côté bistrots



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Le Kon-Tiki, un radeau de Balsa pour traverser l'Atlantique. Une expérience incroyable qu'ont réussi, six norvégiens en 1947 pour démontrer que des Sud-Américains avaient très bien pu traverser l'Atlantique et rejoindre les îles Polynésiennes et établir un lien entre le Pérou et la mystérieuse île de Pâques.
Augustin a dévoré le livre relatant cette aventure (best-seller traduit en 70 langues)... et nous apprécions la maxime de thor Heyerdahl : " Borders ? I have never seen one. But I have heard they exist in the minds of some people"



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Le FRAM et ses expéditions polaires, des hommes se sont laissés dériver, bloqués par les glaces, pour en analyser la dérive, pendant plusieurs années. Le bateau craquait sous la pression des glaces, ils l'ont évacué plusieurs fois, au risque de continuer à pied sur la banquise ... mais il a tenu !



Les Norvégiens ont toujours été de grands explorateurs ; ils sont également les premiers à mettre un pied au pôle Sud, où le climat est encore plus rude.
Des explorateurs américains, partis au même moment pour essayer de les devancer,sont arrivés quelques jours après eux et ont tous péris sur place. Ils avaient atteint le pôle Sud à pied, leurs ânes n'ayant pas résisté au froid !

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